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 Marchons, marchons ! (Jean-Luc Mélenchon)

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MessageSujet: Marchons, marchons ! (Jean-Luc Mélenchon)   Marchons, marchons ! (Jean-Luc Mélenchon) EmptyLun 10 Fév - 10:42

Ayrault et Hollande pensaient qu’en déplaçant les motifs de conflictualité sur le terrain « sociétal », ils se feraient une santé de gauche. Ainsi auraient été masquées les forfaitures de la politique économique, sociale et sécuritaire. Une seule politique économique serait possible mais il resterait une différence de taille entre droite et gauche sur le terrain des droits civils. De la sorte, nous aurions dû nous taire sur la TVA et le « pacte de responsabilité » pour motif de solidarité face aux réactionnaires. C’est cette grosse embrouille étouffante que les Valls et consorts ont voulu nous vendre en agitant lourdement les fantômes de 1934 après les manifestations de droite et d’extrême droite. Mais le son de leur voix faisait bien entendre qu’il s’agissait moins d’une crainte que d’un espoir purement politicien. Harlem Désir en est même venu à proposer un temps une « marche de la fraternité » ! A cette occasion bien sûr, le PS aurait été amnistié de ses turpitudes le temps d’un simulacre d’indignation républicaine unanime. Grosse ficelle. Certes, il est temps de construire une nouvelle démonstration de force à gauche. A présent, beaucoup de monde, parmi les nôtres, semble convaincu qu’il faut agir spectaculairement. Nous avons entendu et lu Olivier Besancenot. Et de même Clémentine Autain ensuite.

Tout cela est très positif. Nous qui ne sommes pas parvenus à convaincre à propos de la marche nationale contre la TVA pour le 8 février, nous sommes entièrement disponibles pour lancer à notre tour un appel à l’action et à la révolte. Mais la condition de la réussite de cette action, c’est la clarté de l’objectif. On ne peut affronter les partisans de l’inégalité des droits civils qu’en faisant bloc sous les mots d’ordre de l’égalité sociale. On ne peut affronter les conséquences de la politique du gouvernement en faisant semblant de ne pas connaître les responsables ni de les nommer. Cette action de masse doit être une mobilisation d’opposition de gauche. Il faut marcher, oui, une fois de plus ! Mais il faut que ce soit un succès de nombre et de prise de conscience populaire. Le nombre pour obtenir au moins un résultat : faire la preuve de notre force non seulement aux yeux du pouvoir solférinien, qui aimerait tant en avoir fini avec cette force indépendante qui lui tient tête, mais davantage encore aux yeux du grand nombre qui doute de lui. Je viens sur le sujet et je relaie les opportunités que le terrain nous propose.

Social et sociétal marchent toujours de paire

C
omment Jean marc Ayrault et François Hollande ont-ils pu penser que le sociétal ne rejoindrai pas le social et le fond culturel du pays ? Cela montre, mieux que tout, leur méconnaissance du pays, et davantage encore de son Histoire profonde. A force de penser l’économie en anglais et le social en allemand, ces deux bouchons ballottent sur une mer inconnue d’eux ! Erreur stupéfiante. On ne peut dissocier la question de l’égalité des droits civils de celle des droits sociaux. Dès qu’il s’agit d’égalité, c’est tout un en France depuis le  « big bang » de 1789 ! Seuls des hommes aussi inconsistants que ces deux-là peuvent autant méconnaître la réalité culturelle profonde de la France. Un objectif comme le mariage pour tous, et à présent celui de la procréation médicalement assistée (PMA), en toute hypothèse, bousculent des préjugés et habitudes très profonds. Ce sont donc des questions qui doivent être traitées au grand jour, devant tous, et avec une intense mobilisation, de l’explication et des tâches que nous disons « d’éducation populaire ». La perception de ces questions par l’élite mi chair mi poisson à la Hollande est totalement hors de la réalité. Elle s’imagine une France de classe moyenne supérieure émancipée de tout conservatisme et capable d’imposer à tout le reste du pays ringardisé une façon de vivre.

C’est ne rien comprendre aux classes moyennes supérieures et au conservatisme. En fait, sur les sujets sociétaux, les lignes de clivage traversent toutes les catégories sociales. Elles ne se répartissent ensuite sur l’axe traditionnel droite-gauche qu’au prix de l’explication et de la campagne de conviction permettant à chacun de faire le lien entre les divers aspects de ses convictions spontanées. Faute d’explication politique, le curseur entre conservation et mouvement donne rarement la prime au mouvement. En effet, le conservatisme sociétal reçoit toute l’énergie de l’ordre établi, celui de la génération antérieure, surtout quand celle-ci est si puissante dans la société, comme c’est le cas encore aujourd’hui. Le dire, ce n’est pas du tout relativiser l’importance des sujets en cause. C’est même le contraire. C’est situer leur centralité et la méthode d’action pour atteindre les objectifs. Mais encore faut-il commencer par admettre la légitimité du conflit.

La conflictualité est un art de réalisation en démocratie. Elle est l’essence de la démocratie. C’est le conflit qui appelle la décision du souverain, le peuple, par ses votes. Le conflit maîtrisé, c’est-à-dire canalisé vers la décision collective par le vote, est le meilleur moteur de la société elle-même et pas seulement de la sphère politique. Ayrault et Hollande n’y entendent rien. Leur penchant les pousse à l’inverse : pas de discussion, pas de bruit, pas de vagues. Un rêve technocratique. Pour y parvenir, un gros édredon est mis sur toute chose pour paralyser le débat. Edredon de peur, de doute de soi, et par-dessus tout de disqualification du point de vue des opposants par les méthodes du sophisme : « pas vous ! pas ça ! ». C’est-à-dire la disqualification de la forme de l’argument et la disqualification de celui qui l’énonce, pour n’avoir jamais à répondre à l’argument énoncé. De telles personnes se croient toujours capables de parvenir à leurs fins par des ruses et des bons mots. Ils peuvent en effet avoir quelque succès dans les premiers temps où leurs airs bonhomme ou leur face navrée fait hésiter, comme on hésite à parler d’un tuyau qui fuit au voisin du dessus qui fait la fête ou qui est en deuil. Mais, pour finir, les faits étant ce qu’ils sont, il faut bien les traiter, c’est-à-dire accepter de traiter les conflits d’intérêt qu’ils contiennent. Ainsi, les prétendus « réalistes », partisans de la « seule solution possible », sont toujours très vite d’incroyables facteurs de désordres les plus divers.  L’intéressant, c’est qu’ils savent encore moins gérer ces désordres et ces passions-là que celles qu’ils prétendaient régler au prix de leurs astuces à deux sous ! Donc, plus ils approfondiront la crise par leur politique et leur pratique, moins ils domineront leur position.  

Comment marcher ?

O
n pourrait donc avoir des raisons de s'en réjouir. Cependant, ces sortes de personnes font courir des risques à tout le monde du fait de leur inconsistance. C'est ce qui vient de se produire dans la séquence incroyable de dimanche dernier. En donnant la victoire aux manifestations de droite, le tandem Hollande-Valls a brutalement déséquilibré le rapport de force politique. Voila pourquoi, je pense, beaucoup auront senti quasi-instinctivement le besoin de reconstruire le paysage politique avec une gauche bien visible montrant sa puissance. C'est pourquoi l'ambiance a beaucoup changé autour de nous. Il y a un mois de cela, Éric Coquerel, agissant au nom du Parti de Gauche, a eu du mal à constituer un collectif pour prolonger la bataille contre l'augmentation de la TVA, et davantage encore à convaincre de la nécessité d'un rassemblement de masses nationale à Paris sur le thème. À l'exception du NPA, tous nos camarades avaient une appréciation désolée des capacités de mobilisation. Dans ce genre de circonstances, personne ne peut être certain d'avoir raison contre tous les autres. C'est pourquoi nous avons accepté de bonne grâce que l'objectif soit reconsidéré à la baisse. Mais l'action du 8 février, là où elle a eu lieu, a clairement montré la disponibilité des esprits autour de nous. Contrairement à la sphère militante, le plus grand nombre de nos concitoyens ne vit d'aucune façon au rythme de la mobilisation pour les élections municipales. C'est donc une erreur d'évaluer une capacité de mobilisation à partir de la disponibilité des militants qui la préparent. Une mobilisation est d'abord le résultat d'un contexte. Et ensuite d'une méthode d'action. L'éclatant succès de nos trois marches, en septembre contre le traité européen, puis en mai et en décembre pour la sixième République et contre le gouvernement en ont été une démonstration. Il est important de bien comprendre à quel point la détermination appelle la force et la force se grandit d'elle-même. Personne dans notre pays à gauche n'a été capable de mobiliser autant de monde que nous l'avons fait dans ces trois circonstances. Je ne le dis que pour la leçon que ces événements comportent ! Non pour glorifier des moments auxquels mon nom a été si violemment associé, notamment pour tout ce qui est du dénigrement.

Comment pourrions-nous agir cette fois-ci ? D'abord, vérifions que nous sommes bientôt d'accord, non seulement pour agir, mais pour le faire sur des bases d'opposition de gauche sans bougli-bougla unanimiste où l'on convoque des peurs imaginaires pour faire marcher au pas ! Ensuite, tâchons de prendre appui sur ce qui existe, au moins le temps d'une vérification. Je sais que la date du 1er mars a été retenue dans de nombreux départements pour une démonstration de rue. La méthode commencée à Marseille, hélas sous une pluie battante glaciale, a néanmoins fonctionné comme un exemple. J’avais dit dans ce blog combien je souhaitais une contagion qui se répande plus vite que le rhume attrapé là-bas ce jour-là. Je crois que c’est ce qui se produit. Par exemple, à Toulouse notamment, à partir d'une initiative de l’UD CGT, un large collectif, incluant toute l'autre gauche et un vaste arc de forces associatives et syndicales, s'est constitué. Il convoque à une marche sur place, le 1er mars. C'est cette date que je retrouve dans les comptes-rendus de situation départementale que je reçois. Peut-être peut-on imaginer de généraliser l'appel de Toulouse ? De cette façon, nous prendrions appui sur une initiative locale, avec une méthode de « Front du peuple ». Le résultat qui serait acquis ce jour-là pourrait permettre d'évaluer correctement la situation et de proposer un nouveau rendez-vous suivant très rapproché. Ce ne sont là que quelques éléments de réflexion à partir des informations dont je dispose. Dans tous les cas, je veux insister sur le fait qu'une telle démonstration ne doit pas être appropriée par l'une des composantes politiques de ce Front du peuple, fût-ce par nous le Front de Gauche, pour la raison que les élections municipales proches pourraient servir de prétexte à division. Pour autant, il n'est pas sans intérêt de parvenir à disloquer à la base le dispositif des socialistes, en les prenant à contre-pied partout où cela est possible. Je veux dire que si des cortèges ou des fédérations socialistes entières se décidaient à s'associer à des manifestations contre l'austérité et contre la misère, ce serait un problème pour le gouvernement et le parti solférinien, et non pas pour nous. Il est certain également qu'un tel mouvement aurait ensuite forcément son écho dans les urnes, dans la mesure où chacun verrait bien quel candidat participe à la lutte et qui s'y refuse.

Ma manière d'être député

Mon blog Europe vous propose une rubrique « ma manière d’être député ». C’est une sorte de réaction positive à la blessure que les ragots nous infligent. Quand des branleurs diffusent en boucle les éructations contre moi de José Bové et Cohn-Bendit, deux travailleurs épisodiques grand teint, nous nous sentons au-delà de la bataille habituelle contre les ventilateurs à boules puantes de la sphère médiatique. Je dis « nous infligent » parce que tout le monde sait bien que mon travail est celui d’une équipe attelée toute l’année à bien organiser l’exécution de mon mandat de député européen. Ceux qu’il est convenu d’appeler « mes collaborateurs », femmes et hommes à parité, sont tous des camarades. Leur travail à mes côtés n’est pas seulement une assistance vitale pour moi. Elle est pour eux une source de responsabilités et d’engagement personnel très lourd et très envahissant. Ma place dans le dispositif global de notre combat politique l’explique évidemment. Mais ce n’est pas un service personnel, c’est un combat collectif où je porte le personnage comme eux, autre manière de dire qu’ils le portent autant que moi. Chemin faisant, plusieurs d’entre eux ont écrit des livres sur nos sujets. Tous articulent l’analyse des textes qui sont présentés avec le travail des commissions du parti. Celles-ci sont composées de militants bénévoles. C’est donc légitimement sur « les assistants » que reposent les tâches de coordination et d’harmonisation en cas d’avis contraires. Cette part de notre tâche ne figure dans aucun compte rendu, mais elle est décisive dans la façon d’accomplir un mandat. Quand vous observez mes dizaines de déplacements sur le terrain, mes dizaines de discours à propos d’Europe, mes centaines d’explications de dossiers, de post et de chapitres du blog, pensez aussi à toute cette équipe de militants politiques. Et pensez aussi à ce que ce savoir accumulé permet : le moment venu, ils sauront quoi faire et où frapper.

L’activité des parlementaires européens fait l’objet de classements fondés étroitement sur des mesures chiffrées. C’est déjà une option : n’existe ici que ce qui est mesurable. Après quoi, il faut encore préciser que mes détracteurs ne citent qu’une seule source, un seul organisme : VoteWatch. Jamais ils ne disent qu’ il en existe d’autres. Et pour cause, car ils ne donnent pas du tout les mêmes résultats ! Du coup, cela obligerait à travailler pour faire des moyennes ou discuter les critères. Mes détracteurs ne travaillent pas : ils rabâchent sans vérifier ni recouper. Ce sont des « branleurs » au sens que cette expression reçoit sur un chantier où, pendant que les uns travaillent, les autres font semblant de le faire pour avoir voix au chapitre et à la paye le moment venu. Ici c’est toute une chaîne qui fait semblant de travailler depuis VoteWatch jusqu’au « journaliste » qui glisse sa boule puante dans un prétendue question sur mes convictions européenne. A commencer par la « source », VoteWatch : celle-ci ne produit rien par elle-même. VoteWatch se contente d’additionner et de soustraire des informations collectées par les services du site du Parlement Européen. Un simple logiciel fait son « travail ».

Comme on le comprend alors, un tel instrument de mesure ne peut être neutre. Tout est dans le choix de ce qu’il collecte ou rejette. Un esprit honnête s’imposerait au moins de recouper plusieurs sources. C’est ce que ne font jamais les « journalistes » qui répètent en boucle les données du seul VoteWatch. Du point de vue de la déontologie professionnelle du journalisme (interdit de rire), c’est déjà une lourde faute. Ce n’est pas la seule faiblesse de ce choix. VoteWatch classe uniquement d’après la présence dans les hémicycles au moment où s’opèrent les votes électroniques. Il ne compte rien d’autre dans ce registre, pas même les votes à mains levé ou la présence dans l’hémicycle pendant les débats. Ce serait intéressant, car ceux-ci ont lieu à d’autres moment qu’à l’heure fixe où l’on vote d’un coup et sans débat, à la file, tous les textes et amendements en une heure et demi par jour de session. Mais combien d’autres choses aussi importantes et mobilisantes ne sont pas comptabilisées ! Le nombre des meetings et des discours ou des parties de discours consacrés à l’Europe, les livres et articles sur le sujet, les interviews n’étant mesuré par personne ne sont donc pas pris en compte. Ni le nombre des différents tracts, ni les blogs, ni les participations à des manifestations, et ainsi de suite. Bien des critiques pourraient être formulées. C’est à l’évidence, donc, un critère bien étroit qu’utilise VoteWatch pour évaluer l’activité d’un parlementaire. Le résultat est, du coup très hautement contestable. Il est facile de s’en rendre compte en comparant les notes attribuées par les différents organismes de classement de l’activité des parlementaires. Pourquoi ignorer ces autres sources et ces autres classements ? S’il s’agit réellement d’évaluer l’activité parlementaire, c’est assez absurde.

Ne citer qu’une seule source c’est déjà nul. Mais être paresseux au point de ne même pas s’interroger sur le fournisseur d’information c’est quand même beaucoup de désinvolture, non ? Le manque de sens critique à l’égard de VoteWatch pose question ! VoteWatch se dit neutre ? Hum, il est trop dépendant pour cela. Car il est très bien subventionné. Comment se fait-il que l’origine et les critères de cette agence ne soient jamais interrogés par aucun de ceux qui répètent ses verdicts si discutables ? La connivence est mauvaise conseillère en la matière. Certes, aux yeux de certains, c’est une bonne recommandation d’être un organisme créé par des sociaux-démocrates et des Vert, comme c’est le cas ici ! Pourquoi pas. Mais tout de même ! Un minimum d’honnêteté dans les ajustements de l’outil devrait être respecté pour que la mesure soit considérée comme fiable. VoteWatch a récemment supprimé plusieurs critères d’appréciation qu’il avait pourtant utilisé pendant longtemps auparavant dans son instrument de mesure. Cela a été fait en cachette, sans prévenir les utilisateurs. Un exemple frappant : VoteWatch a supprimé de son étalon de mesure des critères pourtant hautement significatifs comme le nombre des explications de vote donné par un parlementaire. C’est pourtant une activité fondamentale ! C’est ce qui permet de contrôler le sens politique de l’action de son élu. Je suis le deuxième Français sur ce plan. Les lanceurs de boules puantes sont loin, très loin derrière moi ! En tous cas, il est frappant de noter que ces changements de critères favorisent quasi exclusivement de piètres travailleurs comme José Bové et Daniel Cohn-Bendit. Il est vrai que les « journalistes » qui répètent leurs bobards ne sont vraiment pas non plus des obsédés du travail… !
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