Jeudi 06 fév 2014 à 15:02
Ce jeudi, des salariés de tous secteurs professionnels manifestaient à Dijon à l’appel de la CGT, comme dans de nombreuses autres villes françaises.A l’appel de la CGT, une mobilisation interprofessionnelle était organisée ce jeudi 6 février dans 151 villes de France. A Dijon, le rendez-vous était fixé à 14 heures place François Rude. Les motifs de revendications, égrenés par le syndicat, sont légions. En gros caractères, ils s’inscrivent en ces termes sur les tracts distribués aux passants : « Pour les emplois, les salaires, les conditions de travail et une protection sociale de haut niveau ». « Notre objectif est de faire comprendre au gouvernement que les salariés ont besoin que les choses évoluent dans leur vie quotidienne », résume Sandrine Mourey, secrétaire de l’union départementale de la CGT. Elle poursuit : « Des dispositifs sont mis en place soit disant au nom de l’emploi, mais les résultats ne sont pas là ». Parmi les exemples cités, celui de Carrefour Quetigny : « Au total, l’Etat verse à Carrefour Quetigny 820 000 euros (exonérations de cotisations et CICE (crédits impôts compétitivité emploi), ndlr), pourtant, 40 postes ont été supprimés ces 3 dernières années », précise la responsable syndicale.
Ce jeudi, toutes les branches professionnelles ou presque sont représentées : « Carrefour, Parker, le CHU et le CHS, le secteur de l’éducation, les cheminots, Casino… » désigne pêle-mêle Sandrine Mourey. Outre l’impression de tracts et des actions menées au cœur des entreprises, ils entendent aujourd’hui faire davantage de bruit et interpeller. « L’actualité récente montre, avec les bonnets rouges ou encore la manif pour tous, qu’il faut être dans la rue si l’on veut que le gouvernement réagisse ». Cet après-midi, à Dijon, les 200 personnes environ qui s’étaient mobilisées entendaient suivre cette voie, et manifester pour faire entendre leurs griefs. D’autres mobilisations pourraient suivre dans les prochaines semaines.
Amandine Chauve---------------------------------------par nurdin joel 6 février 2014 à 16 h 27 minj intervient en disant que faites vous des gens sans emplois vous syndicalistes de tout bords sommes nous du bétail entre 56 et 62 ans age fatidique de la retraite mais que faire entre aujourd’hui et six ans devant nous puisque personne ne veux de nous toutes professions confondues signé J. NURDIN
par Lionel21 6 février 2014 à 16 h 45 minBonjour,
Il y a un piège à éviter monter les uns contre les autres. Salariés, chômeurs, précaires sont victimes de la politique d’austérité menée par le gouvernement, encouragée par la droite et le MEDEF.
C’est ensemble qu’il faut combattre pour une alernative de gauche.
Les chômeurs ont des organisations : AC !, CGT chômeurs, MNCP, APEIS…
Ces organisations ont organisé plusieurs manifestations, une marche sur Paris (certes la presse a été peu loquace) pour la défense de l’emploi.
Il faut exiger de ce gouvernement de capitulards qu’il acte sa promesse électorale pour l’interdiction des licenciements boursiers
LP
par pipo 6 février 2014 à 18 h 28 minencouragé par la droite mdr!! lionnel 21 et les super promesses de la gauche? quand ils etaient a l opposition ils etaient tout en gueule! et maintenant qu ils ont les pleins pouvoir ya plus rien! le smic a 1600 euros la baisse du chomage des la première année,baisser les impots pour les classes moyennes,et les 60 mesures qui vont mettre notre pays sur la paille, t as la mémoire courte,2 ans au pouvoir et ils sont incapables de gouverner un pays avec leur idées a la cons!! dehors la gauche ils sont nuls a chier!!
par nurdin joel 6 février 2014 à 19 h 46 minje reconnais que pipo est dans le vrais lionnel as tu deja vu cgt ou fo ou autes syndicat aider un chomeur a manger seulement manger puis payer ses factures puis vivre normalement*
par Lionel21 6 février 2014 à 21 h 23 minPour Pipo, le bien nommé, je lui dirais qu’effectivemment le gouvernement actuel n’a rien amené sauf un caramba aux smicards et des cadeaux faramineux, à fond perdu, comme d’habitude, au patronat. C’est la continuité parfaite de la politique de Sarkosy sur le plan social. Et le patronat et ses sbires de droite se réjouissent, tout en demandant toujours plus, de ces mesures.
Oui, Joêl, les syndicats ne sont pas là pour donner à manger, payer les factures des chômeurs, ils sont là pour les aider à combattre les injustices sociales.
Les mesures nécessaires, c’est le gouvernement qui doit les prendre. Un salaire décent pour tous, qui permette de faire face aux nécessités. On ne pouvait compter sur la droite et le parti brun de Marine, le plus antisocial de tous, fascisant de surcroît.
Le gouvernement libéral actuel, la gauche capitularde, montre qu’il a choisit son camp : celui du patronat.
C’est le combat qui a contraint « la gauche », jadis, à prendre des mesures sociales (congés payés, RMI, CMU, réduction du temps de travail… Toutes ces mesures la droite et ses petits frères de l’extrême droite étaient contre.
La gauche caviar a abandonné le combat.
La seule alternative possible, c’est une politique résolument orientée à gauche, dont le fil conducteur est l’humain d’abord.
par Andany21 6 février 2014 à 23 h 45 minLionel 21 a complètement raison.
La gauche actuelle n’a pas tenu ses promesses, et de plus, comme tous ceux qui détiennent le pouvoir, ils oublient vite leurs engagements, dès l’instant où ça tombe dans la poche, le reste ils s’ en moquent. …
Comme quoi, il est difficile d’accorder la confiance à un parti quelqu’il soit !
Ce qui est sûr, c’est qu’il faut se battre pour obtenir d’être respecté, chômeurs, salariés, ouvriers, cadres, en fait tous les travailleurs, les retraités (ils ont travaillé toute leur vie),
Il faut se serrer les coudes et montrer à ce gouvernement qu’ils n’ont rien lâcher pour bonifier la vie aux français.