L'Humain d'abord - Pour une 6ème République
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

L'Humain d'abord - Pour une 6ème République

Forum d'information et de discussion politiques - Dim 19 Mai - 22:30
 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

 

 Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France)

Aller en bas 
AuteurMessage
Admin
Admin
Admin


Messages : 5167
Date de naissance : 18/05/1952
Date d'inscription : 17/05/2013
Age : 72
Localisation : 21500 Montbard

Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Empty
MessageSujet: Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France)   Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) EmptyMar 29 Juil - 16:01

Mardi 29 juillet 2014

Lundi 28 juillet 2014, des militants du Parti de Gauche ont rendu hommage à Robespierre et ses compagnons, place de la Concorde à Paris.
 
Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Hommage_Robespierre_2014

Après des prises de paroles et la lecture de textes de Saint Just par Benoit Schneckenburger et de l’Incorruptible par Michel Hernando, ils ont déposé une gerbe en hommage aux révolutionnaires de l’An II. Vous trouverez ci-dessous le discours de Mathilde Larrère, membre de la Commission Histoire, retraçant la vie et l’œuvre de Maximilien Robespierrre et celui de Paul Vannier, co-secrétaire du PG 75 revenant sur les circonstances de sa mort et la portée de Thermidor.

Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Benoit_Schneckenburger_Hommage_Robespierre_2014
Benoît Schneckenburger

Intervention de Mathilde Larrère, commission Histoire du Parti de Gauche

Bien que Robespierre ne soit pas le seul à mourir il y a 220 ans, bien qu’il ne soit rien sans les sans-culottes, et que je reste convaincue comme Saint Just que « la révolution est dans le peuple, et non point dans la renommée de quelques personnages », c’est bien de Robespierre et que de Robespierre que je vais vous parler.
Parce qu’il le mérite ! Et parce que, comme c’est lui en particulier qu’on attaque (même si au delà c’est la révolution que l’on vise, ou une part de la révolution), c’est lui qu’il faut défendre.

Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Mathilde_Larrere_Hommage_Robespierre_2014
Mathilde Larrère

Robespierre… Psychopathe légaliste, génocidaire froid, Robespierre « à la guillotine entre les dents » ! Que n’a-t-on dit contre l’homme et ce dès sa mort le 9 thermidor, même dès avant sa mort, sa légende noire s’est écrite alors que son sang était encore rouge. Et que lui reproche t-on à Robespierre ? Que lui reprochent ses pourfendeurs de tous bords, conservateurs, monarchistes, réactionnaires mais aussi libéraux ?
La dictature disent-ils ? Mais que ne les entendons nous pas alors vociférer contre Napoléon, dictateur pourtant patenté. La violence politique, la politique terroriste ? Mais pourquoi ne dénoncent-ils pas la Terreur blanche qui explose dès les lendemains de Thermidor contre tous ceux qui ont soutenu les montagnards, et qui ressurgit au retour des Bourbons. Que ne dénoncent-il pas Bugeaud, le bourreau de Transnonain, Cavaignac le saigneur de juin 48, et Adolphe Thiers, massacreur de la commune ?

Parce que ce n’est pas cela qu’ils détestent chez Robespierre et qu’ils rejettent, cherchent à déconsidérer à travers lui. Ce qu’ils rejettent, détestent, c’est justement ce que nous, nous aimons, défendons. La lutte contre toutes les aristocraties, qu’elles soient de naissance ou d’argent, la défense des plus pauvres, l’affirmation des droits. Pour faire vite. La république démocratique et sociale !
Mais c’est tellement plus facile, et efficace, d’évoquer la guillotine, le rasoir national et le triste bilan en sanglant repoussoir. On oblige les historiens, les défenseurs de Robespierre à se perdre dans de longues contextualisations de la violence politique, les circonstances, la guerre, la violence de tout temps ; ou à démontrer en se perdant dans les détails du fonctionnement du Comité de Salut Public que Robespierre n’est pas le dictateur qu’on brocarde. Ce faisant, on s’enferme dans un débat dicté par ceux qui détestant les mesures démocratiques et sociales se servent de la dénonciation de la violence pour rejeter toute la période.
Donc non, je ne veux pas me laisser enfermer et je veux juste rappeler pourquoi nous, militant-e-s du PG nous aimons et Robespierre, et la Convention dite montagnarde, et la constitution de l’an I !

Pourquoi donc nous déposons ici une gerbe. Robespierre, dès les débuts, est du coté du peuple. Il en est la sentinelle, le héraut. Jeune avocat en ascension sociale, c’est à la pauvre corporation des savetiers d’Arras qu’il prête sa plume pour rédiger leur cahier de Doléances en 1789 quand ses confrères se cherchaient des causes plus reluisantes et mieux rémunérées ! Peu à peu il émerge au sein de l’assemblée constituante sortie des États Généraux. Il est celui qui toujours défend les droits. Qui défend la liberté d’expression, de croyance. Dans son projet de déclaration, il propose l’article suivant « Le droit de s’assembler paisiblement, le droit de manifester ses opinions, soit par la voie de l’impression, soit de toute autre manière, sont des conséquences si nécessaires du principe de la liberté de l’homme que la nécessité de les énoncer suppose ou la présence ou le souvenir du despotisme. » … C’est assez d’actualité… Il est celui qui défend les droits politiques, et les droits politiques pour tous, à rebours des logiques libérales, censitaire des députés qui s’emploient à rejeter des urnes les plus pauvres des citoyens qualifiés de « passifs ». Robespierre est celui qui lutte pour le SU, pour le droit de vote de tous, les comédiens, les juifs. Et la citoyenneté pour les étrangers. Il est celui qui hurle contre l’une des grandes hypocrisies de la Constituante qui proclame que les hommes sont égaux mais maintient les chaines de l’esclavage. Celui qui toujours pourfend l’injuste inégalité de la répartition des impôts. Lui aussi qui, au lieu de s’effrayer des journées insurrectionnelles, s’en félicite. « Hé Messieurs, c’est à cette émeute que la Nation doit sa liberté » rétorque-t-il aux députés effrayés par les violences du 14 juillet. Lui qui justifie le droit à l’insurrection, et s’oppose à toute sorte de répression contre le mouvement populaire. C’est d’ailleurs en protestant contre la loi martiale discutée et votée en octobre 1789 et qui permettait à la révolution de tirer sur le peuple qu’il sort de l’anonymat.

C’est aussi le défenseur de la démocratie. Dans le fameux débat sur le véto royal il se situe bien à gauche quand nait cette partition de notre vie politique. Ses positions constitutionnelles sont claires. Le peuple est souverain, tout le peuple doit avoir des droits politiques Le législatif doit être le pouvoir suprême, il faut avoir une défiance salutaire envers l’exécutif Les députés ne sont que les commis du peuple, et pour cela révocables.

C’est lui aussi qui se dresse contre les agioteurs, spéculateurs, accapareurs de tout accabit qui maintiennent élevé le prix du grain et vides les assiettes des classes populaires. Lui qui en 1790 propose que la devise de la France soit Liberté, Egalité, Fraternité.

Alors, pendant toute la Constituante, il se bat ; prend la parole ; écrit. Se dresse contre ce qu’il dénonce comme la dérive de la révolution, cet avènement d’une aristocratie nouvelle, celle des riches, celles des « honnêtes gens » (et le terme est négatif sous sa plume) contre les « gens de peu », lui qui n’a de cesse de rappeler les principes des Droits de l’Homme aux députés soucieux de défendre les libertés économiques plus que l’égalité politique. Il gène, il est l’empêcheur de voter en rond, mais dans l’hémicycle (quoi que la pièce fût rectangulaire !) ça ne sert pas à grand chose. Presque jamais il ne l’emporte ! Mais ces discours publiés, ces prises de paroles aux club des Jacobins, tout cela contribue à la radicalisation, à la politisation du peuple. Il gagne en tout cas rapidement la réputation et le surnom d’Incorruptible. De fait, le désintéressement caractérise celui qui disait « je veux être pauvre pour n’être pas malheureux ».

Pendant la législative où il ne siège pas (puisque sa seule victoire à la Constituante et d’avoir imposer le principe de non rééligibilité des députés sortants) il s’exprime à partir de la tribune des Jacobins et la radicalisation du mouvement populaire se nourrit de ses discours, de ses idées. Il s’illustre en étant l’une des rares voix contre la guerre au printemps 92. Et s’il n’est pas un des acteurs du 10 aout (mais il n’est un acteur d’aucune journée, c’est un homme d’écrit, de parole, pas d’action !), il en est l’un des inspirateurs car il réclamait depuis le début de l’été la déchéance du roi et l’élection d’une constituante au suffrage universel masculin.

Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Sylvie_Aebischer_Paul_Vannier_Hommage_Robespierre_2014
Sylvie Aebischer et Paul Vannier

La voilà. La Convention.
Il commence par livrer le combat contre ses frères des Jacobins, contre ceux qui derrière Brissot restent attachés aux principes libéraux de 89, à la défense de la propriété. Eux qui voient en Robespierre et ses proches des niveleurs ! A ceux là qu’il accuse de vouloir la révolution sans la révolution, il rappelle qu’il ne faut pas faire une révolution juste pour eux -mêmes, mais qu’il faut la faire pour le peuple. A ceux là il rappelle que le droit à l’existence est le plus important des droits, et qu’il l’emporte sur le droit à la propriété. Le mouvement populaire conduit à l’élimination des Girondins. Et pendant quelques mois, la France va connaître une politique démocratique et sociale qui va suffisamment effrayer les possédants, les libéraux, les élites pour qu’ils trouvent pendant des décennies, plus d’un siècle, et aujourd’hui encore, les moyens d’éviter que cela ne les menace à nouveau, notamment en évoquant la guillotine en sanglant repoussoir.

Robespierre, 93, l’an II, c’est quoi ? C’est quoi ce qui a été guillotiné il y a 220 ans sur cette place ? La constitution de l’an I. Bijou de la démocratie, écrin de la souveraineté populaire respectée comme elle ne le sera plus jamais dans les institutions. La première formulation des droits sociaux, et leur application. Droit à l’existence, au travail, à l’assistance, à l’instruction dont Robespierre sera un des défenseurs acharnés. Le Maximum des prix, une législation de secours aux plus démunis, aux personnes âgeés, aux mères seules, aux malades… Et de fait. A Paris, pendant toute la période, le taux de mortalité chute. Il remontera dès septembre 1794, brutalement. Avec la Convention montagnarde, la féodalité est enfin abolie, après que la nuit du 4 aout ait laissé croire qu’elle l’avait fait tomber tout en préservant sagement les droits des propriétaires ! La distribution des biens des émigrés aux plus pauvres.

Voici donc quel était l’homme qu’on a guillotiné avec ses compagnons il y a 220 ans. J’ai bien conscience d’en avoir fait un portrait positif. Rien de ce que j’ai dit n’est faux. Bien sur on pourra lui reprocher de n’avoir jamais soutenu la cause des femmes, le citoyen, pour lui, est male. Bien sur, il n’a jamais totalement remis en cause la propriété comme le fera Babeuf.
Bien sur il aurait pu aller plus loin dans les réformes sociales et des Montagnards le lui reprochaient. Bien sur il voyait dans les hébertistes plus sociaux que lui des enragés et ça l’a coupé d’une bonne partie des sans-culottes. Bien sur, il a cherché à contrôler la radicalisation, la politisation populaire qu’il jugeait excessive et dangereuse pour la révolution. Qu’on apprenne de ses hésitations, de ses erreurs, lui n’en a pas eu le temps. Bien sur aussi, il pouvait être violent en parole, mais comme il le disait lui même « quelle est donc cette affreuse doctrine qui veut que dénoncer un homme et le tuer, c’est la même chose ». facile peut-être. Mais reste que l’homme a largement défendu l’abolition de la peine de mort, et quand il a accepté qu’elle s’applique, il a toujours cherché à le justifier, à en excuser le caractère exceptionnel, il y a toujours réfléchi. Combien sont ceux qui ont réfléchi à la violence politique quand il étaient au pouvoir?

Le problème est que l’histoire de Robespierre est celle d’un vaincu, et que l’histoire est très généralement écrite par les vainqueurs…. Et dans son cas, ils n’y sont pas allé de main morte !

Discours de Paul Vannier, co-secrétaire du PG Paris

Mathilde a retracé la vie, l’œuvre de Robespierre, je vais m’arrêter sur les circonstances de sa mort, de la sienne et de celles de ceux qui tombent avec lui en ce mois de Thermidor : Saint Just, Couthon, son frère Augustin… au total ils sont 103, membres de la Commune, Jacobins, emportés dans les jours qui suivent, tous victimes d’une coalition hétéroclite rassemblée dans l’opposition à la politique de l’Incorruptible.

Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France) Paul_Vannier_Hommage_Robespierre_2014
Paul Vannier

Qui sont donc ces brigands qui font tomber Robespierre ? Il y a les terroristes sanguinaires, comme Fouché, tancés et rappelés de leurs missions par Maximilien révulsé par la violence qu’ils exercent contre les populations civiles ; il y a certains membres du Comité de Salut Public inquiets de la législation sociale adoptée sous l’influence de Saint Just et de Robespierre ; il y a des hébertistes deschristianisateurs hostiles à l’Etre suprême dont on vient de célébrer la fête ; il y a la queue de comète des dantonistes ; des membres du Comité de Sureté général n’acceptant pas l’autorité que Robespierre a pris sur eux. Tous ces fripons, ces criminels, s’entendent le 9 thermidor à la Convention pour empêcher Maximilien de prendre la parole et décréter son état d’arrestation avec Saint Just et Couthon. L’ami Lebas et le frère de Maximilien, Augustin, demandent à partager leur sort.

Principal animateur du Comité de Salut Public, l’organe « gouvernemental » de la Révolution, Maximilien Robespierre en faisant adopter, dans les mois qui précèdent sa chute, une série de mesures sociales dépassant les conquêtes politiques de 1789 - la loi sur le Maximum, les lois de Ventôse, la Constitution de l’An I qui contient les prémices de l’idée de services publics - s’est en effet attiré l’hostilité des représentants des classes possédantes. Dans le même temps, il n’est pas parvenu à satisfaire une part des revendications populaires. Trop tardives, trop imprécises, les mesures prises par le Comité de Salut Public répondent imparfaitement aux aspirations d’une partie des sans culottes de Paris.

Ainsi coupé d’une partie du peuple de la capitale, « suspendu dans le vide » comme l’écrit l’historien Jean Massin, celui qu’on accuse d’être un dictateur, un tyran, se rend le 8 thermidor devant une Convention qu’il lui sait hostile. Tous les conspirateurs sont là. Et tous se taisent pour écouter son dernier discours. Il se termine par ces mots « Je suis fait pour combattre le crime, non pour le gouverner. Le temps n’est point arrivé où les hommes de bien peuvent servir impunément la patrie ; les défenseurs de la liberté ne seront que des proscrits, tant que la horde des fripons dominera ».

Arrêté puis libéré par la Commune de Paris, dans la nuit du 9 au 10 thermidor, Robespierre renonce à diriger l’insurrection qui l’appelle à sa tête. Il l’a sait trop faible, ne sait quelle direction lui donner. Epuisé, après une année passée à la tête du Comité de Salut public, à défendre, à chaque instant, la République, à multiplier les séances à la Convention, les interventions au club des Jacobins, Maximilien se laisse, à deux heures du matin, rattraper. Le lendemain, il est guillotiné, après ses amis Saint Just et Couthon et Augustin son frère, avant 18 autres de leurs camarades, place de la Révolution. Son corps est jeté dans la fosse commune du cimetière des Errancis, aujourd’hui rue Monceau dans le VIIIe arrondissement.

Pour l’historien Albert Mathiez, Thermidor correspond à la fin de « La grande période de la République […]. Les rivalités de personnes prennent le pas sur les idées, le Salut public s’efface et disparait derrière les intérêts privés […]. Le politicien remplace le politique. ». C’est le début de la contre révolution. Le suffrage censitaire est rétablit. Le maximum abolit. C’est le début aussi d’une autre Terreur, la terreur blanche, ne brutalisant ni le noble, ni le banquier mais massacrant jacobins et républicains.

Rendre hommage à Robespierre et à ses compagnons, c’est donc pour nous, militantes et militants du Parti de Gauche, rendre hommage à la République démocratique et sociale anéantie avec eux. 220 ans plus tard, nous poursuivons leur projet. 220 ans plus tard, comme Jaurès en son temps, nous sommes avec Robespierre.
Par notre rassemblement, nous honorons la mémoire de ces hommes, immenses par les tâches qu’ils accomplirent devant l’inédit surgit de l’histoire, et en particulier celle de Maximilien Robespierre à qui aucune rue, aucune place, aucun monument de Paris ne rend l’hommage pourtant du à l’un des fondateurs de notre liberté.

Vive Robespierre,
Vive Saint Just,
Vive Couthon,
Et ceux qui meurent avec eux,
Vive la Révolution !

Revenir en haut Aller en bas
https://l-humain-d-abord.forumactif.org
 
Hommage parisien à Robespierre (Parti de Gauche Île de France)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Mercredi noir pour nos retraites (Parti de Gauche) + Mexique - Non au dépouillement de la souveraineté nationale ! (Parti de Gauche) + Le Parti de Gauche salue l’amnistie des 30 de l’Arctique
» Barrage de Sivens : les dérives d'un socialisme de notables (Médiapart) + Pour la mémoire de Rémi Fraisse (Parti de Gauche de La Réunion) + Conflits de pouvoirs : pour Rémi Fraisse (Arié Alimi)
» Saint-Ouen-l'Aumône. Il faut sauver les " têtes dures " (PG95) + Le Parti de Gauche soutient les salariés de STEF en grève depuis 15 jours (Le Parisien)
» SNCM. Les marins ne désarment pas (Parisien) + Le gouvernement tombe les masques à la SNCM (Humanité) + SNCM : M. Cuvillier, si ce ne sont pas des mensonges, c’est de la mauvaise foi ! (Parti de Gauche) + Divers
» Le Parti de Gauche salue l’adoption de la Constitution tunisienne + Tunisie mon amour (Parti de Gauche)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'Humain d'abord - Pour une 6ème République :: Anciens messages-
Sauter vers: