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 Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis)

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MessageSujet: Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis)   Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) EmptyVen 6 Déc - 16:43

vendredi 6 décembre 2013

Dans les Bouches-du-Rhône, soixante-dix ouvriers de l’usine Fralib sont toujours en lutte, trois ans après l’annonce de la fermeture du site par Unilever. Leur projet : relancer la production selon des critères écologiques et en relocalisant les fournitures.

Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) Arton5110-c3fdd

Fralib, c’est l’histoire d’une résistance obstinée face à une multinationale anglo-néerlandaise, Unilever, présente dans plus de 190 pays à travers des marques telles que Knorr, Amora, Dove... Ou encore les thés Lipton et les tisanes Elephant, que produisaient les Fralib jusqu’à ce que leur usine, nichée au pied de la colline de la Sainte-Baume à Geménos (Bouches-du-Rhône), ne s’arrête définitivement de tourner, en septembre 2012.

Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) Img_6051-80238

Après plus de mille jours de lutte, les Fralibs sont encore là. Et comptent bien faire revivre leur usine grâce au projet alternatif de reprise qu’ils portent depuis plus de deux ans : créer une SCOP et renouer avec des produits de qualité. « L’Éléphant vivra à Gémenos » est devenu le mantra des soixante-dix-sept salariés qui occupent encore aujourd’hui le site, sur les 182 concernés à l’annonce de la l’arrêt de l’activité par Unilever en septembre 2010.

« On mise sur les circuits courts pour travailler avec des plantes provençales de qualité, refaire marcher une économie locale. Faire quelque chose de sensé quoi ! Si on reprend la production, ce n’est pas pour faire ce que faisait Unilever », explique Gérard Cazorla, le secrétaire CGT du comité d’entreprise.

Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) Img_6084-b1b6c

Pour prouver que cela était possible et que le savoir-faire n’avait pas disparu, les Fralibs ont produit cinq mille boîtes de tisane au tilleul produit dans le pays de Buis les Baronnies, en Drôme provençale, à l’occasion de la fête de l’Humanité. « On est persuadés que notre lutte est légitime et que notre projet tient la route, on ne peut pas accepter qu’Unilever nous pique cette usine. »

Le hic : pour que leur projet voit le jour, les Fralibs ont besoin de la multinationale, notamment pour racheter leur production pendant trois à cinq ans. Mais ils réclament surtout la cession de la marque Elephant, ce qu’Unilever refuse catégoriquement.

Pourtant, les Fralibs estiment qu’elle leur revient de droit : l’Elephant est une marque provençale, née à la fin du XIXème siècle, rachetée en 1972 par Unilever au groupe Ricard. Jusqu’en 1998, il existait deux usines Fralib en France : une en Provence donc et une autre au Havre. Mais un premier plan social lancé par Unilever a eu raison du site normand.

Douze ans après, c’est Geménos s’est retrouvée dans le viseur, pas assez rentable pour l’industriel. « Cela n’a jamais été prouvé, comme l’a dit l’Inspection du travail, fulmine le syndicaliste à la tête ronde, aux petites lunettes et à la bonhomie naturelle. »

Jointe par téléphone, la direction du groupe explique sereinement qu’un « industriel raisonne en termes de compétitivité. On perdait des parts de marché depuis 2003 et Gémenos nous revenait trop cher par rapport à nos trois autres usines. » Aujourd’hui, Unilever préfère produire en Angleterre, en Belgique et en Pologne.

Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) Unilever_v_1-62a36

Depuis 2010, trois plans sociaux ont été proposés, tous invalidés par la justice, estimant entre autres que les conditions de reclassement n’étaient pas sérieuses. Comme quand la direction propose des postes en Pologne à 400 euros et des brouettes. Entre-temps, soutenus par les collectivités locales, l’usine est rachetée par la communauté urbaine Marseille Provence métropole. Tout comme les machines, pour un euro symbolique.

« Ce n’est pas facile tous les jours, on voit souvent plus les collègues que nos familles, mais avec l’effet de groupe, tous les soutiens qu’on reçoit, on tient le coup », lance Rim Hadri, une jeune femme aux longs cheveux bruns. Les salariés continuent à se réunir une fois par semaine en assemblée générale et à parcourir la France pour expliquer leur combat « aux camarades » ou à organiser des initiatives comme celle du 7 décembre prochain, un appel à boycott des produits Unilever.

S’approvisionner auprès des producteurs locaux

Et bien sûr, ils continuent à préparer leur projet de SCOP, auquel ils croient dur comme fer. « Depuis environ 15 ans, tout était produit chimiquement, explique Laurence Nicolas, une des laborantines. Unilever importait des plantes des quatre coins du monde pour en faire de la poudre qu’on insérait dans des micro-billes. Cela n’a pas de saveur, on ne veut plus de tout ça. Je ne change pas de métier, simplement de produits. Et si en s’approvisionnant chez des producteurs locaux, on peut relancer l’agriculture du coin, tant mieux ! ». Camomille, tilleul, menthe verte, « on expérimente, on regarde ce qui est possible de faire. Mais pas de doute, c’est bien meilleur ! », assure-t-elle.

Mais si la région Paca a commandé en 2011 un rapport au cabinet Progexa qui valide ce projet alternatif, il n’est pas encore tout près d’aboutir. Unilever refuse de s’asseoir à la table des négociations et estime en avoir déjà fait beaucoup, en abandonnant par exemple les machines. Sans parler de la cession de la marque - qui serait un aveu de faiblesse pour ce symbole du capitalisme - et des millions d’euros d’investissements nécessaires, notamment pour un atelier de coupe des plantes fraîches.

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« C’est vrai que ce rapport est très optimiste dans la mesure où il associe Unilever au projet des Fralibs, consent Michèle Tregan, conseillère régionale socialiste déléguée à l’emploi qui suit le dossier. Il faudrait établir un plan B, sans Unilever. Mais nous continuons de dire que ce projet va dans le bon sens et qu’Unilever aurait tout intérêt en termes d’image de négocier les conditions de ce projet alternatif. Ce serait une porte de sortie honorable ».

Pas question d’un plan B pour les Fralibs. « Jusqu’à présent la justice nous a donné raison, Unilever doit assumer ses obligations. L’entreprise avait provisionné 60 millions d’euros jusqu’à fin 2012 pour financer ce plan social. Qu’ils dépensent cet argent pour nous permettre de reprendre la production ! », fulmine Gérard Cazorla avant de mettre en lumière les résultats financiers d’Unilever en 2012 : 51 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 2,7 milliards de dividendes sur 5 milliards de bénéfices.

« Ce combat nous a fait prendre conscience du monde dans lequel on vit, juge Henri Solaire, un autre ouvrier à la barbe touffue. On nous impose un cadre, un modèle basé sur le salariat. Mais cela ne tient qu’à nous de le dépasser et de trouver un nouveau modèle social ». Une utopie ? Résolument tournée vers l’avenir et le bon sens économique.

Note : Si vous souhaitez exprimer votre solidarité envers les salariés de Fralib, il est possible d’acheter pour dix euros une boîte de leur tisane artisanale ainsi qu’une copie du documentaire réalisé en 2011 « Pot de thé contre pot de fer » en envoyant un mail à cgt.elephantvivra@orange.fr

Un boycott des produits Unilever est par ailleurs organisé le 7 décembre : info ici.

Clément Chassot pour Reporterre

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MessageSujet: Re: Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis)   Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) EmptyVen 6 Déc - 18:14

Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis)

Les « Fralib » lancent samedi 7 décembre une campagne de boycott des marques d’Unilever. Explications.

Olivier Leberquier, mécanicien et délégué syndical CGT de Fralib , explique les enjeux de la campagne de boycott des marques d’Unilever lancée le 7 décembre . Il détaille aussi les objectifs de reprise en coopérative de la seule entreprise de conditionnement de thés et d’infusions en France.

Les ouvriers de Fralib luttent depuis mille jours pour lancer une coopérative écologique (Reporterre) + Boycott d’Unilever : « Unilever doit négocier avec les salariés de Fralib » (Politis) Arton24812-c87aa

Après trois années de lutte pour sauver le site de Fralib, pourquoi lancez-vous une campagne de boycott des marques d’Unilever ?

Olivier Leberquier : Quand les dirigeants d’Unilever ont annoncé leur projet de fermeture de Fralib à Gémenos en septembre 2010, nous avons rapidement lancé cette arme du boycott sur la seule marque Lipton. C’est une des premières décisions que nous avons prises parce que nous voulons conserver la marque de thé et d’infusions Eléphant, qui a 120 ans d’existence et n’est vendue qu’en France, alors que Lipton est la marque milliardaire du groupe. De plus, dans ce secteur, nous avons la seule usine en France qui conditionne les thés et les infusions.

Récemment, avec le comité national de soutien présidé par le député PCF André Chassaigne, nous avons pris la décision d’appeler à étendre le boycott des marques d’Unilever et à une journée nationale de boycott le 7 décembre. Ce qui nous avons pris cette décision fin 2012, suite à la visite à Paris de Paul Polman, PDG d’un groupe qui a engrangé 4,6 milliards de bénéfices net l’année de la fermeture du site de Fralib et qui rejette notre projet de reprise de Fralib en coopérative.

Nous avons été scandalisés d’apprendre que ce monsieur a été nommé membre d’un panel de réflexion aux Nations unies pour réfléchir au développement durable de la planète. Ce qui nous met hors de nous, c’est que nous portons un projet qui fait en sorte de relancer une filière courte de thés et d’infusions bio avec la marque Eléphant. Ce que nous voulons faire, c’est par exemple acheter le tilleul à 150 kilomètres de chez nous, à Buis-les-Baronnies, pour ensuite le travailler, le couper, le conditionner sur le site de Gémenos, puis le vendre aux consommateurs français.

On est loin des méthodes d’Unilever dont la politique est par exemple d’acheter le tilleul en Amérique latine, pour le faire venir par bateaux à Hambourg en Allemagne. Ce tilleul parcourt ensuite 600 kilomètres en Allemagne pour être coupé. Puis il repart par camion à Katowice en Pologne pour être conditionné. Et de Katowice, il arrive en France pour être vendu au consommateur. On sait qu’Unilever fait la même chose avec les cornichons. Autrefois, les cornichons d’Amora-Maille étaient cultivés en Bourgogne autour des sites de productions, puis récoltés et mis en bocaux dans l’usine. Aujourd’hui, ils viennent d’Asie et Unilever jongle avec la vitesse des bateaux arrivant au port pour ne pas payer de stockage !

Plusieurs décisions de justice ont donné raison aux salariés de Fralib [1]. La multinationale est-elle au pied du mur ?

En clair, Unilever doit reprendre une procédure de fermeture de Fralib et mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) pour les 182 salariés. Mais le jugement n’est toujours pas notifié et Unilever joue avec les lenteurs de la justice pour gagner du temps. Quand la notification sera officielle, l’astreinte devrait coûter 300 000 euros par mois au groupe. Pour Unilever, c’est dérisoire. Pour nous, c’est une somme qui sera versée à la caisse du comité d’entreprise, qui nous donnera des moyens supplémentaires pour tenir et nous organiser. Surtout, cela posera un problème d’image à Unilever, une multinationale contrainte de payer une astreinte pour ne pas avoir appliqué une décision de justice…

Le facteur juridique fait que logiquement Unilever devrait venir négocier avec nous. Mais il ne faut pas oublier les aspects politiques. Nous avons été reçus quatre fois à l’Elysée avec notre dossier de reprise de Fralib en coopérative. Ce n’est pas banal ! On s’attache à rappeler les engagements pris par François Hollande avant son élection, ainsi que ceux d’Arnaud Montebourg, qui a tenu des propos très fermes en notre faveur pendant la campagne présidentielle.

Prenant l’exemple de Fralib, Arnaud Montebourg a indiqué qu’il ramènerait à la raison Unilever en taxant à la frontière ses produits et en réquisitionnant la marque. Ce ne sont pas les propos d’un délégué syndical CGT de Fralib ! Ce sont ceux du candidat à la présidentielle lors des primaires socialistes, qui est aujourd’hui ministre du Redressement productif ! On peut comprendre que le dossier Fralib ne va pas être résolu du jour au lendemain, mais on ne comprendra pas que François Hollande et Arnaud Montebourg perdent de vue les objectifs qu’ils avaient fixés avant la présidentielle de 2012.

Le projet de lancer la coopérative provençale des thés et infusions (Scop TI) est pour l’instant bloqué par la multinationale. Que lui demandez-vous ?

Notre projet a été validé par nous, par un cabinet d’expertise et par l’union régionale des scop PACA-Corse. Il tient avec la marque et les volumes cédés par Unilever. Le conseil régional de Provence Alpes-Côte d’Azur (PACA) a voté une subvention pour réaliser une expertise sur le projet d’une solution alternative. Un premier rapport d’étape a été rendu en juillet 2011, au moment où Unilever met en place le deuxième PSE, qui sera par la suite annulé.

Un rapport plus complet est rendu au début 2012, puis un groupe de travail a été mis en place après l’élection de François Hollande. A l’issue des réunions du groupe de travail, un rapport a été validé en juin 2012 par le ministère du Redressement productif. Nous avons été reçu à l’Elysée à la rentrée 2012 et avons obtenu l’engagement que soit organisée une table ronde réunissant l’ensemble des acteurs du dossier.

Nous avons aussi continué à travailler avec l’union régionale des scop de PACA. Un dernier rapport sur la reprise de Fralib par les salariés en scop a été enrichi avec une synthèse réalisée par l’union régionale le 6 décembre 2012, puis le 5 février. 72 salariés sont partants pour s’associer dans la coopérative et le projet de reprise porte sur un effectif de 103 salariés avec une usine dont les machines ont été cédées pour un euro symbolique à la Communauté urbaine de Marseille.

Si Unilever vient à la table des négociations et que nous sortons avec d’autres propositions que celles que nous demandons, peu importe. Nous les étudierons. Si nous considérons que ce qui est obtenu suffit et contribue au fonctionnement de notre coopérative et à sa pérennisation, on prendra. Il faut savoir qu’Unilever vend chaque jour 2 milliards de produits dans le monde. On ne demande pas la lune ni d’engagements sur dix ans, mais d’amorcer la pompe sur les trois à cinq années qui viennent.

[1] En février, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a invalidé la procédure de fermeture de l’usine et annulé les licenciements déjà intervenus. Le 22 octobre, le juge de l’exécution du tribunal de grande instance de Nanterre a condamné sous astreinte Unilever a exécuter l’arrêt rendu.

Thierry Brun
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