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 « Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon)

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MessageSujet: « Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon)   « Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) EmptySam 3 Aoû - 16:52

Pour la deuxième fois consécutive, signe de sa vitalité, le Front de Gauche organise des Estivales les 24 et 25 août à Grenoble. La plupart des formations tiendront leurs universités propres à proximité pour ensuite faire front, ensemble, lors de ce rendez-vous à Grenoble. Il est donc à nouveau fondamental de se retrouver aux Estivales à quelques mois des élections européennes ?

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) 4.-octave-honorin-2012_bandeau

Jean-Luc Mélenchon : Evidemment qu’il est important de se retrouver dans des estivales !

Je crois que cela fait partie de ces merveilles du Front de Gauche auxquelles on n’est pas assez attentifs. L’existence-même du Front de Gauche depuis maintenant 2009, donc depuis 4 ans, est très courte dans l’histoire politique.
Pour autant, il a franchi victorieusement toutes les étapes et tous les défis qu’il avait à relever.
Nous sommes neuf organisations différentes ! En quatre ans, le Front s’est élargi d’une manière spectaculaire, puisque nous l’avons commencé en 2009 à deux partis, le PCF et le PG.
Puis est arrivée la Gauche Unitaire qui était une première scission du NPA, qui a été suivie ensuite au fil du temps de 3 autres scissions supplémentaires qui nous rejoignaient.
La FASE, le PCOF, les Alternatifs aussi ont intégré le front au fur et à mesure des garanties de viabilité qu’il donnait et des succès qu’il remportait : le premier étant fondateur, celui des élections européennes de 2009.
Ainsi, la diversité des cultures de référence dans nos rangs est considérable. Il ne faut pas la sous-estimer. Il ne faut pas sous-estimer ce qui peut séparer, du point de vue de la doctrine, le Parti Communiste des Ouvriers de France de République et Socialisme, pour prendre deux exemples qui me semblent bon à mettre en parallèle. 
Et même, cela n’empêche rien. Et même souvent cela permet beaucoup d’audace.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) Logo-estivales-FG

En 2014, nous allons nous trouver de nouveau au début d’un cycle politique déterminé par la façon avec laquelle les peuples répondront à la question européenne. Ce sera fondateur une nouvelle fois.
2009, c’était l’écho lointain, mais le premier écho suivant le référendum de 2005 sur le traité constitutionnel.
Car, c’est en 2005 que notre gauche s’est avancée sur la scène, qu’elle a commencé à se donner à voir comme un tout cohérent politiquement autour d’un objet commun qui était le vote « non » à l’Europe libérale.
Bien sûr, cette autre gauche existait avant. Mais en 2005, elle va pour la première fois unie à la rencontre du suffrage universel et elle s’inscrit dans une logique qui devient majoritaire.
A partir de 2009,  nous travaillons à ce que cette majorité qui est apparue en 2005 prenne un contour politique, adopte un programme politique et entraîne la société française.
Voilà notre défi. Le Front de Gauche porte un projet à vocation majoritaire.

Depuis 2009 et la fondation du Front de Gauche,  nous avons, étape par étape et à chaque pas, vérifié la force de notre alliance et son opportunité politique. Beaucoup de gens ne savent pas cela.
Quand  nous avons commencé le Front de Gauche, les communistes mettaient un S à Front-s et pas nous. Ainsi, pour eux, il aurait fallu faire des fronts de gauche à chaque élection alors que nous, nous voulions faire un parti unique.
Pour finir, ni l’un ni l’autre n’a eu raison. La vie a tranché, un parti unique n’a pas de sens. La formule de la coalition que nous vivons est bien plus efficace et d’un autre côté, il n’y aura pas des fronts remis en cause à chaque élection. Il n’y en a qu’un.
Nos congrès respectifs ont validé cette démarche. Il a une structure permanente, la coordination, qui se réunit d’ailleurs au siège du Parti Communiste tous les lundis.
Pour autant, ne sous-estimons à aucun moment le fait que nous sommes une formation récente, que nous sommes fragiles et que « ça ne marche que si ça marche » comme dit Oskar Lafontaine.  Comme la bicyclette, ça ne marche que si ça avance. À partir du moment où cela arrête d’avancer, ça tombe.
Et n’oublions pas que nous ne sommes pas entourés d’amis. Tout au contraire. Pour le système nous sommes la mauvaise nouvelle qui trouble le ronron de l’alternance face au Front national. Notre vocation majoritaire ne fait pas sourire autant que le croient les blasés et les aigris.
Ainsi le Parti Socialiste s’emploie en permanence à chercher les failles entre nous, sans oublier sa presse et ses réseaux d’influence qui mènent une campagne de dénigrement permanent pour créer un pare-feu, protéger l’avance du FN et mettre la pression sur les plus fragiles des membres du Front de gauche.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) 3.-CA-et-JLM_rémy-blang

Et les Estivales s’inscrivent dans cette séquence de construction politique ?

Oui, c’est dans cette chaîne d’événements que prennent place les Estivales. Les Estivales correspondent à ce qui, chez les autres, s’appelle une université d’été. C’est un rite qu’ont pratiquement tous les partis français. Mais ils l’ont pour leur propre compte, il n’existe aucun cas d’une structure collective comme le Front de Gauche tenant une réunion de fin d’été.
Le PS réuni ses barons à La Rochelle mais les MRC et le MUP de Robert Hue n’y ont droit qu’à des strapontins de commensaux.
Nous, nous préparons et menons tout en collectif. La première fois, nous étions un peu tâtonnants. On avait déjà le schéma en tête, en tout cas au Parti de Gauche on le voyait comme cela.
Chacun tenait son université d’été, parce que chacun a besoin de son propre temps de rencontre, spécifique à ses propres adhérents et ensuite on faisait une mise en commun. Et comme toujours dans le Front de Gauche, les choses se sont réglées pragmatiquement, par le consentement de la base au sommet. J’insiste sur cette idée. Les communistes, pour prendre cet exemple, se sont intégrés au Front de Gauche et l’ont pleinement assimilé en tant que structure collective tout comme nous, le Parti de Gauche, au fur et à mesure, par des délibérations de leurs adhérents.
À la sortie des élections européennes de 2009, la première rencontre suivante avec le suffrage universel, c’était les élections régionales. Beaucoup disaient qu’une majorité de régions communistes préféreraient faire une alliance avec le Parti Socialiste plutôt que de maintenir le cadre autonome du Front de Gauche. Ce n’est pas cela qui s’est passé. Pourquoi ? Parce que les adhérents communistes ont voté, il ne faut jamais perdre de vue cette dimension démocratique du Front de gauche.
Et la même chose s’est produite au Parti de Gauche en dépit du fait que les accords minoraient partout sa place. Il ne faut pas passer à côté des difficultés que nous avons surmontées. Il y a eu des difficultés dans l’attelage qu’est le Front de Gauche et à chaque fois elles ont été surmontées par le vote des adhérents qui ont collectivement décidé que l’on continuait le Front de Gauche, qu’on le nourrissait, qu’on l’amplifiait. Le Front de Gauche n’est certes pas un parti unifié mais il n’en est pas moins une structure confédérale qui a un régime démocratique interne. Dans les faits, ce sont nos adhérents respectifs qui décident l’orientation.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) Pierre-Laurent-Remue-M1

Et pour les Estivales, c’est aussi progressivement que la preuve s’est faite de leur utilité. Et maintenant, je dois dire qu’une certaine ritualisation de leur organisation existe. On a, en effet, l’habitude de tenir un comité de coordination et de prévoir un planning sur cet objet. Ce sont des moments où les camarades qui sont autour de la table font référence aux expériences précédentes : « on a fait comme cela, comme on a fait l’année dernière ».
Progressivement émerge une culture d’une pratique commune du Front de Gauche et cela aussi c’est un très grand acquis.

En même temps, sur le plan intellectuel, nous observons des convergences fondamentales qui sont sans précédent dans l’histoire de la gauche. J’ai l’âge d’avoir connu les discussions du programme commun et de la stratégie d’alliance correspondante.
À l’époque, il s’était dit à juste titre que l’on privilégiait la discussion programmatique à la discussion idéologique. Car la discussion idéologique était sans fin, tandis que la discussion programmatique avait une borne qui était la présentation d’un programme commun aux élections.
C’est exactement d’une certaine façon ce qui s’est produit avec le programme l’Humain d’abord. Mais ce qui est frappant, c’est de voir qu’à l’époque du programme commun les partis s’étaient donnés pour objectifs de faire converger leurs regards sur la société et les réponses que l’on y apportait. Les communistes en particulier, on s’en souvient, avaient pris des décisions sur un plan théorique comme par exemple sur la fameuse question de la dictature du prolétariat avec laquelle Georges Marchais avait annoncé que le PCF prenait ses distances. Je le mentionne pour mémoire, pour que l’on se souvienne que les questions théoriques n’ont pas toujours été considérées comme des mauvaises plaisanteries, comme c’est le cas aujourd’hui où il y a un grand  dilettantisme intellectuel dans la social-démocratie.

« La révolution citoyenne »,  Jean-Luc Mélenchon, Université d’été du Parti de la Gauche Européenne, Porto, juillet 2013.

Bref, les communistes, les camarades du Parti de Gauche et des autres composantes se sont beaucoup écoutés mutuellement.
Et il commence à sortir des concepts qui sont adoptés par nos partis d’une manière toujours diffuse et pragmatique.
Par exemple, le Parti de Gauche et le PCF ont en commun le concept de révolution citoyenne qui est dans les textes de nos deux congrès (NDLR, voir vidéo ci-dessus).
La Gauche Anticapitaliste et le Parti de Gauche ont en commun le concept d’écosocialisme. Ce sont des choses qui avancent, sans faire beaucoup de bruit, mais  qui dessinent  une  vision commune du futur de l’humanité. Toutes ces avancées sont inédites.
C’est-à-dire que personne d’autre que le Front de Gauche n’a un tel niveau d’élaboration conceptuelle, ne propose des objets nouveaux de pensée, des concepts nouveaux d’action politique, alors que nous sommes  censés, si l’on en croit nos adversaires, être nous les archaïques et eux les modernes.
Je mets au défi quiconque de dire quelle idée neuve, sur un quelconque terrain depuis les 15 dernières années, le Parti Socialiste a pu mettre sur la table à la réflexion de la gauche intellectuelle en France. Il n’y en a pas. Il n’a même pas été capable d’assimiler la pensée sur la complexité d’Edgar Morin qui avait occupé son congrès de l’Arche en 1991.
Il en va de même pour l’écologie politique. Personne ne peut dire quelle synthèse stratégique sur l’écologie politique a été prise en charge  par Europe Ecologie-Les Verts qui était le rameau historique en France avant que nous-mêmes nous n’intégrions cette famille intellectuelle.
Je trouve qu’il y a là aussi une très grande pauvreté.

Le temps des Estivales est donc le moment de cette élaboration intellectuelle, mais elles ont  aussi une dimension festive ?

Oui, les Estivales ne sont pas un lieu conclusif, c’est un lieu de bouillonnement : on fait bouillir la marmite. Il y a donc deux aspects. Premièrement, les objets intellectuels s’échangent dans cette mise en ébullition des idées. Mais il y a un deuxième aspect très important des Estivales. Il est humain.
Outre ces connexions entre les concepts qui se produisent à partir de ce dégel doctrinal, il  se passe surtout quelque chose entre les gens qui les portent : c’est la fraternité militante.
Les gens apprennent à se connaître dans une situation où il n’y a pas d’enjeu. Les camarades se rencontrent pour la première fois non pas pour discuter de l’organisation d’une manif, non pas pour organiser une liste pour des élections, mais tout simplement pour le bonheur de parler, de réfléchir.
À ce moment-là, des liens très forts se créent entre les personnes.
Il ne faut jamais perdre de vue qu’une organisation politique a sa raison d’être dans un programme, mais sa manière d’être ce sont des êtres humains.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) Rémy-blang_grenoble

Le programme sera très riche, avec la réflexion collective sur ces nouveaux concepts dont vous parlez, mais aussi des dossiers importants pour la rentrée, l’attaque sur les retraites, une Union Européenne à la dérive avec la question de l’euro, des négociations sur le traité transatlantique avec les Etats-Unis… Vous voyez d’autres axes avant une rentrée où l’on parlera beaucoup des européennes ?

Oui, la question de l’écosocialisme en tant que perspective d’horizon large de l’action politique révolutionnaire du Front de Gauche.
Car le Front de Gauche, je le rappelle, est une organisation à vocation révolutionnaire. Non pas qu’il veuille déclencher une révolution, mais qu’il sait qu’une révolution va se produire du fait de l’impasse de la société libérale. Et donc, il se propose d’utiliser l’énergie que va dégager cette situation d’une façon positive pour proposer à la société  de se diriger d’un même pas vers un horizon commun que nous nommons l’écosocialisme. C’est une première question très importante.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) Remue_meninges_2012_Matthias_Tavel

De la même manière, je pense que les questions de la révolution citoyenne « en quoi elle consiste ?, quelles sont ses méthodes ? » vont venir aussi en discussion.
En tous cas on le fera à partir du Remue-méninges du Parti de Gauche les 21 et 22 août, mais cela travaillera aussi les Estivales.
Nous au PG, nous  attachons beaucoup d’importance aux Estivales. Le responsable des Estivales dans notre parti est le numéro 1 de la production idéologique  du parti, François Delapierre.
C’est l’homme qui, depuis la naissance du parti, est chargé de réaliser les synthèses idéologiques qui résultent de nos travaux et de notre contact permanent avec les scientifiques, sociologues, ethnologues, anthropologues, économistes de toutes sortes.

Par conséquent, le déroulé des estivales n’est pas du tout pour nous un moment purement estival, dans le sens vacancier du terme.
Pour nous c’est un enjeu. Nous croyons beaucoup que l’homogénéisation idéologique du Front de Gauche, qui ne veut pas dire l’uniformisation, demeure un de ses ressorts les plus profonds et les plus sûrs.
C’est ce qui explique pourquoi le Front de Gauche est capable de penser son autonomie politique et sa confrontation avec la social-démocratie. Ce n’est pas seulement parce qu’il se conçoit comme une force électorale ou comme une force politicienne capable de capter les jus du dégoût qu’inspire la social-démocratie à toute la gauche.
Il puise sa force dans l’idée qu’il est, de manière autonome, porteur d’un projet que personne d’autre que lui ne formule de manière aussi cohérente et aussi complète.
Celui-ci va depuis la vision globale, de l’écosocialisme qui ensuite transite par le moyen qu’est la révolution citoyenne et s’ancre dans un programme de radicalités concrètes de rupture.

« Les Estivales du Front de Gauche les 24 et 25 août à Grenoble sont un événement sans équivalent dans le paysage politique ! » (interview de Jean-Luc Mélenchon) 1.-rémy-blang_2011

Et tout cela pourquoi ? Parce qu’il y a ce que nous savons de l’expérience historique.
Ainsi, le débat sur la sortie ou non de l’euro peut être totalement dépassé par une réalité si l’euro s’effondre. Par conséquent, la discussion pour nous est de savoir si c’est dans notre intérêt qu’il s’effondre ou pas et à quelles conditions politique et sociale il pourrait vivre.
Quelles propositions faudrait-il faire pour qu’il vive, mais  seulement dans des conditions qui soient au service de la société et non pas à son détriment, comme c’est le cas aujourd’hui ?
Mais en même temps, il ne faut s’autoriser aucune naïveté, aucun angélisme. Il faut imaginer la situation où la zone euro venant à éclater, il faudrait en prendre le relais par d’autres politiques.

Donc, l’arc des possibilités doit être ouvert et les militants du Front de Gauche ont un devoir de claire conscience, parce que, dans les périodes de troubles de cette nature, il ne faut pas croire que l’on est tous seuls.
On a en face de nous évidemment la réaction qui va essayer de protéger les privilèges qu’elle porte et qui a trouvé pour le faire les solutions extrémistes de droite que l’on connaît.
On voit en France en particulier, comme en Hongrie et dans d’autres pays, s’affirmer et mûrir à échelle de masse des formations d’extrême-droite. L’histoire nous mort la nuque.

à suivre…

Première partie de l’entretien réalisé pour Place au Peuple par François Ralle Andreoli à l’Université d’été du Parti de la Gauche Européenne – Porto, juillet 2013.

Contact : franralle@gmail.com


Mise en page – édition : Claire Martin Hernandez

Remerciements : Laurent Mafféis, Nuno Moniz (Bloco de Esquerda – esquerda.net),


Dernière édition par Admin le Mar 27 Aoû - 8:03, édité 1 fois
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